in ,

Mr Price enregistre une perte de revenus de 1 milliard d’euros, qu’il impute au délestage des charges.

Share

D’après ses derniers résultats financiers, M. Price a perdu 1 milliard de rands (~54 millions) de revenus à cause du délestage.

Le géant sud-africain du commerce de détail Mr. Price cite le délestage comme la principale cause de la perte de revenus de 1 milliard de rands (environ 54 millions de dollars) de l’entreprise, en raison de plus de 318 000 heures d’ouverture perdues au cours de l’année financière écoulée.

En outre, la société a déclaré que les impacts indirects du délestage, tels que la modification du comportement d’achat des clients et la baisse du niveau de confiance des consommateurs, ainsi que la nécessité de démarquer les stocks invendus, ont encore exacerbé les mauvaises performances de la société au cours du second semestre de l’année. Alors que le chiffre d’affaires pour l’année se terminant en mars a augmenté de 17 %, M. Price a annoncé une baisse de 7 % du revenu net et de son dividende annuel de 7,596 rands par action.

« Les phases potentielles plus élevées de délestage tout au long de l’hiver menacent de prolonger ce cycle perturbateur de la vente au détail. Le délestage est devenu un obstacle permanent et fastidieux pour les entreprises en Afrique du Sud et le coût des affaires a augmenté de manière significative, étouffant la croissance économique », peut-on lire dans le communiqué de l’entreprise.

Pour contrer l’impact du délestage sur ses activités à l’avenir, M. Price a déclaré qu’il avait accéléré ses plans de déploiement de continuité énergétique et investi 20 millions de R2 dans des solutions de secours, notamment des onduleurs et des batteries, qui couvriront tous ses magasins d’ici à la fin du mois de juin.

M. Price rejoint d’autres sociétés cotées en bourse, notamment Multichoice, Vodacom, Telkom et MTN, qui ont attribué leurs performances sous-optimales aux délestages.

Share

What do you think?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Flutterwave veut faire de Kigali son centre de règlement en Afrique de l’Est.

ARTSPLIT fait le pari de vous inciter à collectionner, à détenir en copropriété et à vous intéresser à l’art africain.