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L’Africa Fintech Festival promeut le « Passporting » pour stimuler l’expansion de la Fintech sur le continent

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L’Africa Fintech Festival a suscité des discussions dynamiques sur l’avenir des réglementations en matière de fintech sur le continent.

L’un des principaux enseignements de l’événement a été le plaidoyer en faveur d’une réglementation intelligente et l’exploration des réglementations fintech « de passeport », un modèle qui pourrait rationaliser le processus d’octroi de licences pour les entreprises fintech opérant dans plusieurs pays africains.

Le modèle de passeport, mis en évidence par les leaders de l’industrie lors du festival, implique que les régulateurs de divers pays africains reconnaissent et fassent confiance aux licences fintech délivrées par d’autres nations africaines.

Cela permettrait aux entreprises fintech d’opérer à travers les frontières avec un minimum d’obstacles réglementaires supplémentaires, les obligeant à se conformer uniquement aux exigences locales spécifiques au lieu de subir un processus complet de ré-autorisation dans chaque nouveau marché.

Les défenseurs du passeportage soutiennent qu’il représente une forme de réglementation intelligente, favorisant l’innovation et la croissance tout en maintenant une surveillance essentielle.

Le modèle vise à réduire les redondances et les inefficacités qui entravent actuellement les entreprises fintech qui tentent d’étendre leurs services à travers le continent. « Le passeport pourrait révolutionner le paysage fintech en Afrique », a déclaré Salome Kimani, consultante au CGAP.

« Il permet non seulement de réduire le coût et la complexité de la conformité, mais aussi d’accélérer le déploiement de solutions financières innovantes sur plusieurs marchés. »

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