Selon Juniper Research, le marché mondial de la finance embarquée devrait dépasser les 228 milliards de dollars d’ici 2028.
Au fur et à mesure que ce marché mûrit et que la confiance des consommateurs dans la technologie augmente, il devrait représenter une part importante des services financiers mondiaux.
En Afrique, cette tendance émergente a le potentiel de débloquer de nouvelles opportunités économiques. En tant que marché moins mature, il n’est pas aussi entravé par les systèmes de paiement existants, ce qui le rend mûr pour l’innovation en matière de paiement à partir de la finance intégrée.
Il a le potentiel de remodeler le paysage actuel des paiements sur le continent, d’élargir les opportunités d’innovation et de favoriser l’inclusion financière.
En tant que marché, l’Afrique s’adapte très bien aux différentes technologies et adopte des services plus nouveaux et plus souples.
Une grande partie de la population effectue la majorité de ses opérations bancaires par le biais de son téléphone portable, ce qui permet à la finance intégrée de s’intégrer parfaitement dans l’univers financier de la population.
Cependant, de nombreux facteurs modifieront et développeront la capacité de la finance intégrée à s’implanter. Ce rapport Finextra, sponsorisé par Kora, a reçu des contributions de Binance, Indelible Inc, Mojaloop Foundation, et Nikulipe.
Il explore :Faire fonctionner les paiements transfrontaliers intégrés en Afrique ; Débloquer les opportunités du commerce électronique intégré sur le marché africain ;
La finance intégrée : Encourager l’inclusion financière en Afrique ; Pourquoi la personnalisation dans la finance intégrée est la prochaine étape pour la fintech africaine ; Réglementer l’Afrique pour encourager l’innovation dans la finance intégrée.