Eya Rziga
Buntu Majaja, PDG du SA Innovation Summit, revient sur les succès de cette année et quantifie les opportunités de l’année prochaine.
Le SAIS2023 a rassemblé 2 600 innovateurs de 26 pays. Le capital d’investissement présent s’élevait à environ 30 millions de rands.
Les startups s’orientent vers l’IA ou s’appuient sur elle. Dans le monde dynamique de la technologie et de l’entrepreneuriat, le courage et la détermination des fondateurs de startups sont revigorants.
En tant que directeur général du SA Innovation Summit, le fait d’observer ces entrepreneurs, souvent peu sûrs de leurs propres capacités jusqu’au moment de vérité, alimente une passion pour ce rôle et un profond sentiment de responsabilité en tant que facilitateur pour l’industrie.
On pense que chacun possède un désir inné de contribuer positivement au monde, et c’est cet esprit d’entreprise que l’on peut voir à l’œuvre lors du sommet.
L’Afrique du Sud est sans aucun doute prête à assurer l’avenir de son économie, même en ces temps incertains. Le sommet a attiré non seulement des startups et des investisseurs, mais aussi des spectateurs en quête d’inspiration.
Cette communauté active, toujours à l’affût de la prochaine grande nouveauté, témoigne de l’esprit d’entreprise qui règne dans le pays et sur le continent. En soutenant les entrepreneurs, chacun contribue à la création d’emplois – une considération importante partout en Afrique – et encourage une culture entrepreneuriale.
Faire le point
En 2023, le sommet s’est concentré sur l’exploration de la frontière de l’innovation en Afrique. En fait, nous avons laissé un espace devant la frontière de l’innovation en Afrique afin de susciter l’engagement et l’adhésion de tous les participants.
Vous étiez libre d’insérer le verbe de votre choix pour personnaliser non seulement l’expérience de la conférence, mais aussi votre engagement envers les fondateurs et les innovateurs.
Les quelque 2 600 participants inscrits venaient de 26 pays différents répartis sur 6 continents. Plus de la moitié (15) des pays représentés étaient africains, ce qui témoigne d’un profond désir d’interaction qui manquait peut-être au paysage de l’innovation dans la période post-pandémique.
