Bien qu’une résolution sur le partage des données ait permis d’éviter une interruption du service, le mécontentement des chauffeurs reste très répandu.
Nombre d’entre eux demandent à Uber de réduire sa commission de 25 %, tandis que d’autres soulignent les difficultés croissantes liées à la conduite, telles que les longues files d’attente dans les stations-service et l’inflation galopante, qui nuisent à leurs revenus.
Les chauffeurs ont reproché à Uber de réduire ses tarifs.
Ibrahim Ayoade, le secrétaire général de l’App-Based Transporters of Nigeria (AUATON), a déclaré que la structure tarifaire entraînait des retards dans l’obtention de trajets.
Un autre chauffeur, Somoye Olalekan, a fait remarquer que les bas tarifs l’ont éloigné de la plateforme.
Il a été rapporté que les chauffeurs Uber ont vu leur commission augmenter de 10 %. Cependant, Ayoade a réfuté cette information, décrivant l’augmentation comme un simple effort promotionnel temporaire qui n’a pas été maintenu.